Résumé scène par scène de l'École des femmes - Molière

Résumé scène par scène de l'École des femmes - Molière

Jean Baptiste Poquelin, alias Molière, nous a livré bien des chefs-d’œuvre du théâtre français, en effet, il est impossible de nier l'élégance de ses vers et le comique qui en découle. Molière est réellement le maître du quiproquo et de la situation qui fait naître ces fameuses fentes faciales que nous nommons sourire et qui ne sont rien d'autres que le rire se dissimulant sous nos lèvres dansantes et trépignantes à l'idée de s'esclaffer. L'école des femmes fait partie de ces œuvres qui déclenchent notre bonne humeur, c'est une comédie en 5 actes composés de 32 scènes, cette pièce est écrite en vers dont 1737 sont des alexandrins. Chez toutCOMMENT nous nous sommes portés sur le sujet et nous avons eu envie de vous proposer un Résumé scène par scène de l'École des femmes de Molière. Besoin de préparer une fiche de lecture sur l'École des femmes ? et pour ce faire vous avez besoin d'un résumé scène par scène de l'École des femmes de Molière ?

Cet article de toutCOMMENT est fait pour vous !

Quels sont les personnages de l'École des femmes ?

Les personnages que l'on retrouve dans l'École des femmes de Molière sont :

  • Arnolphe : il se fait appeler aussi M. de la Souche.
  • Agnès : il s'agit là d'une jeune fille innocente qui est élevée par Arnolphe ou M. de la Souche.
  • Horace : c'est l'amant d'Agnès ainsi que le fils d'Oronte.
  • Alain : c'est un paysan ainsi que le valet d'Arnolphe.
  • Georgette : c'est une paysanne et une servante d'Arnolphe.
  • Chrysalde : c'est l'ami d'Arnolphe.
  • Enrique : il s'agit du beau-frère de Chrysalde ainsi que le père d'Agnès.
  • Oronte : c'est le père d'Horace et un grand ami d'Arnolphe.
  • Un notaire : ce personnage n'apparaît pas dans l'édition originale de 1663.

Acte I

Commençons notre résumé scène par scène de l'école des femmes de Molière, c'est parti :

Scène I (Chrysalde, Arnolphe)

Cette pièce de Molière commence avec une discussion entre deux amis. Arnolphe explique à Chrysalde que le lendemain il va épouser une jeune demoiselle et qu'afin d'éviter qu'elle ne le cocufie, il l'a élevée depuis ses 4 ans dans un couvent afin que toutes les choses de la vie lui soit étrangère. Cette jeune fille a 17 ans et Arnolphe 42 et ce qui le séduit chez elle, c'est sa "bêtise" provoquée par l'ignorance de la vie qu'elle a mené jusqu'à présent. On a le droit à de longues tirades dans lesquelles Arnolphe argumente sa manière de voir les choses en se moquant de tous les maris cocus et explique que l'esprit simple de sa future épouse le protégera d'être un jour cocu. Il invite Chrysalde à venir souper le soir même avec eux afin qu'il puisse juger de la pureté et de la "bêtise" de sa future épouse. Il en profite pour rappeler à son ami qu'il a changé d'identité et qu'il faut désormais l'appeler M. de la Souche.

Scène II (Alain, Georgette, Arnolphe)

La scène II de l'école des femmes de Molière est une scène comique pendant laquelle les deux servants de la maison se disputent pour ne pas aller ouvrir la porte. Derrière cette dernière il y a le maître de maison qui revient d'un voyage de dix jours. Arnolphe s'enquiert auprès de sa servante et de son valet si Agnès a été attristée de son départ.

Scène III (Agnès, Alain, Georgette, Arnolphe)

Dans cette scène, Agnès descend de sa tour d'ivoire et demande à Arnolphe comment c'est passé son voyage, il lui explique que tout a été bien excepté les puces de la nuit passée. Cette dernière lui rétorque que d'ici peu, il aura quelqu'un pour les chasser. On comprend que Arnolphe fait garder Agnès dans une maison par un valet (Alain) et une servante (Georgette) plutôt simple d'esprit afin qu'elle ne soit pas corrompue.

Scène IV (Horace, Arnolphe)

Une fois sa visite terminée, Arnolphe croise dans la rue Horace, le fils de son très grand ami Oronte qui vient juste d'arriver en ville. Arnolphe est ravi de le voir et en discutant il commence à se moquer de tous les maris cocus, il encourage le jeune Horace de jouer de ses charmes auprès des femmes de la ville. Horace qui est un homme d'honneur se voit dans l'obligation de confier à son ami qu'il a déjà fait une rencontre, une jeune fille qui s'appelle Agnès, elle est la pupille d'un vieil homme qui s'appelle M. De la Souche. Horace explique à Arnolphe que ce M. De la Souche ne permet pas à Agnès de voir le monde et qu'il la garde comme un genre de trésor à l'abris des regards.

Dès la fin du premier acte, on comprend quel va être le quiproquo qui gouvernera cette pièce : Arnolphe et sa double vie avec ses deux identités (car il est aussi M. De la Souche) et de son double domicile (son foyer et l'endroit où il fait garder Agnès). Horace ne sachant pas qu'Arnolphe est M. De la Souche, l'a mis dans la confidence de sa romance avec la jeune candide Agnès.

Acte II

Scène I (Arnolphe)

Dans un court monologue, Arnolphe décide de tourner à son avantage sa rencontre avec Horace afin de pouvoir en apprendre plus sur la nature de la relation qu'il entretient avec Agnès.

Scène II (Alain, Georgette, Arnolphe)

Dans cette scène Arnolphe s'énerve contre Georgette et Alain pour avoir laissé entrer un homme dans la maison durant son absence, il les accuse de trahison envers lui.

Scène III (Alain, Georgette)

Se remettant difficilement de la peur provoquée par la colère noire d'Arnolphe, Alain et Georgette commentent la jalousie de leur maître. Georgette ne semble pas bien comprendre les sentiments qui animent Arnolphe, c'est alors que Alain lui explique la jalousie en expliquant que la femme est le potage de l'homme car aucun homme n'apprécie de voir une personne trempée ses doigts dans sa soupe:

"La femme est en effet le potage de l'homme;

Et quand un homme voit d'autres hommes parfois,

Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts,

Il en montre aussitôt une colère extrême"

Scène IV (Arnolphe, Agnès, Alain, Georgette)

Cette scène n'est composée que d'un monologue dans lequel Arnolphe explique qu'il va faire venir Agnès et qu'il va la questionner doucement pour avoir le fin mot de l'histoire.

Scène V (Arnolphe, Agnès)

Du haut de son innocence, la jeune Agnès explique à Arnolphe toute l'affaire, un jeune homme à la fenêtre lui a fait un bons nombres de révérences qu'elle a rendues par politesse. Une dame âgée engagée par Horace a réussi à convaincre Agnès de laisser entrer Horace car si elle ne le faisait pas, ce galant allait mourir d'une maladie que Agnès aurait provoquée. Au fur et à mesure de la conversation on comprend que Horace lui a baisé les bras et que Agnès lui a fait cadeau d'un ruban que Arnolphe lui avait offert. Arnolphe explique a Agnès que le fait de caresser et de se donner à Horace l'entraînerait dans un pécher mortel, car ce genre de relation ne peuvent exister qu'au sein du serment sacré du mariage. Agnès demande donc a être mariée à Horace, cependant Arnolphe lui annonce que dès le soir même elle sera sa femme. Il lui ordonne de jeter une pierre sur Horace si ce dernier revient lui conter fleurette.

Scène III

Scène I (Arnolphe, Agnès, Alain, Georgette)

On comprend que durant l'entracte, Agnès a jeté des pierres sur Horace, Arnolphe, qui a tout vu, est satisfait du comportement d'Agnès. Il se réjouit et demande à ses Alain et Georgette d'aller chercher un notaire afin d'établir au plus vite un contrat de mariage.

Scène II (Arnolphe, Agnès)

Dans cette scène, Arnolphe explique a Agnès ce qui se passerait si elle le trompait, il lui dépeint une image de l'enfer absolu. Après, il lui explique quels sont ses devoirs en tant que femme mariée en lui faisait lire les maximes de la femme mariée, elle doit être fidèle, ne doit se faire belle que pour plaire à son mari, afin de plaire à son époux elle ne doit plaire à personne, elle doit être soumise etc... Il l'encourage à continuer la lecture de ces maximes et s'en va régler une affaire.

Scène III (Arnolphe)

Dans ce monologue, Arnolphe vante ses mérites de pouvoir modeler à sa guise Agnès, elle n'est que cire dans ses mains pense-t-il, il a en dégoût les féministes et les femmes fortes libres d'esprits.

Scène IV (Horace, Arnolphe)

Horace rencontre de nouveau Arnolphe, le jeune galant explique à l'ami de son père la suite de ses aventures avec la jeune Agnès, les servants de la maison ne l'ont pas laissé rentrer, il en a déduit que le maître de maison était revenu, de plus, Agnès lui a jeté des pierres dessus. Arnolphe feint de la peine pour Horace, mais se réjouit d'avoir été écouté de ses gens. Ce qui le fait déchanter au plus vite est le fait que Horace lui apprend que Agnès a pris le soin d'attacher un mot à une des pierres sur lequel elle révèle son amour à Horace. Peu après, Arnolphe, énervé d'avoir donné des leçons de lecture et d'écriture à Agnès, s'excuse et quitte la scène fulminant de rage.

Scène V (Arnolphe)

Dans ce monologue d'Arnolphe, ce dernier blâme Horace d'avoir corrompu Agnès, au fur et à mesure qu'il déclame ses vers, on se rend compte que Arnolphe est amoureux de Agnès et qu'il ne pourra pas se passer d'elle.

Nous vous invitons à continuer la lecture de notre article Résumé scène par scène de l'École des femmes - Molière afin de découvrir la fin de ce chef d'œuvre du théâtre.

Acte IV

Scène I (Arnolphe)

C'est la suite du monologue de Arnolphe de la scène précédente, il déclame toujours son amour pour Agnès, mais décide de ne pas se laisser faire, il fera tout ce qui est en son pouvoir afin d'éloigner ce maudit galant d'Horace.

Scène II (Le notaire, Arnolphe)

Cette scène est basée sur un quiproquo, le notaire arrive afin de dresser le contrat de mariage et s'adresse à Arnolphe, mais ce dernier perdu dans ses pensées ne s'aperçoit pas que le notaire est en train de parler avec lui. Le notaire s'adresse à Arnolphe et ce dernier pense à voix haute de sa situation, seulement, le notaire croit que Arnolphe lui répond et finit par partir car la conversation n'a aucun sens.

Scène III (Le notaire, Alain, Georgette)

Le notaire quitte la maison en expliquant à Alain et Georgette que leur maître est fou.

Scène IV (Arnolphe, Alain, Georgette)

Dans cette scène Arnolphe entraîne ses domestiques à répondre aux possibles tentatives de séduction et d'approche de Horace.

Scène V (Arnolphe)

Dans ce court monologue Arnolphe se félicite des mesures qu'il a pris afin de tenir Horace éloigné.

Scène VI (Horace, Arnolphe)

Horace tombe de nouveau sur Arnolphe dans la rue et lui raconte les avancées de son histoire avec Agnès. Il lui explique qu'il n'y a pas si longtemps Agnès la fait monter dans la maison en utilisant la porte du jardin, il s'entretenait avec elle dans sa chambre lorsque M. De la Souche est entré dans la chambre ! Horace explique ensuite qu'il a été obligé de se calfeutrer dans une armoire afin de ne pas être découvert, il a ainsi entendu la voix de ce Monsieur, mais ne l'a jamais eu en visu. Horace explique à Arnolphe qu'il a prévu de retourner chez Agnès le soir même et qu'il montera dans sa chambre grâce à une échelle, il se fera reconnaître en toussant par trois fois.

Scène VII (Arnolphe)

Arnolphe est triste de la situation, lui qui a passé des années et des années à préparer un plan afin de ne pas être cocu se voit surpasser par une ingénue et un jeune galant. Il est bien déterminé à se battre jusqu'au bout et il décide d'utiliser les confidences d'Horace à son avantage afin d'éviter que le pire n'arrive.

Scène VIII (Chrysalde, Arnolphe)

Dans cette scène on assiste à un nouveau débat sur les femmes et leur infidélité. Son ami Chrysalde défend une vision diamétralement opposée de celle de son compère Arnolphe, en effet, selon lui, le cocuage serait un présent pour les couples car selon son point de vue, il vaut mieux être cocu que d'avoir une femme acariâtre. Cependant, Arnolphe ne démord pas et jure qu'il ne sera jamais cocu.

Scène IX (Alain, Georgette, Arnolphe) :

Dans cette scène de l'École des femmes de Molière, Arnolphe demande à Georgette et Alain de recevoir Horace avec des coups de bâtons lorsqu'il se présentera à la fenêtre d'Agnès durant la nuit.

Acte V

Scène I (Arnolphe, Alain, Georgette)

Les deux domestiques ont frappé Horace bien trop fort, ce dernier est inconscient et gît sur le sol.

Scène II (Arnolphe, Horace)

Arnolphe se dirige vers le jardin où git Horace, et il tombe nez à nez avec ce dernier qui lui raconte toute l'histoire, les coups de bâtons etc... Face à tant de violence il a cru bon de faire le mort et Agnès, ayant tout entendu, a décidé de s'enfuir de son foyer et de suivre Horace. Afin que l'intégrité d'Agnès ne soit pas compromise Horace demande à Arnolphe d'héberger Agnès quelques temps chez lui. Arnolphe accepte avec l'idée de se venger. Il demande à Horace de lui amener Agnès dans une ruelle très sombre.

Scène III (Agnès, Arnolphe, Horace)

Dans cette scène qui se déroule dans une ruelle très sombre, Horace conduit Agnès et la laisse à Arnolphe pour qu'il l’accueille et la cache chez lui. Cette dernière déclame son amour pour Horace et ne peut pas reconnaître Arnolphe à cause de l'obscurité.

Scène IV (Arnolphe, Agnès)

En tête à tête avec Agnès, Arnolphe déclame sa véritable identité et la réprimande, cette dernière ne se laisse pas faire et lui tient tête. Elle lui explique qu'elle a suivi ses enseignements et qu'elle ne vivra pas dans le pécher car Horace désire l'épouser. Elle clame haut et fort son amour pour Horace et explique à Arnolphe que si elle ne l'aime pas c'est qu'il ne s'est pas montré aimable. Ce dernier lui rétorque qu'il a tout fait pour qu'elle aime, elle lui dit ainsi que Horace est bien meilleur que lui au jeu de l'amour car en seulement deux trois bons mots il l'a conquis son cœur. Arnolphe ne sait plus quoi faire, il supplie Agnès de l'aimer, mais cette dernière reste de marbre, à bout de tout, il décide de l'envoyer dans un couvent.

Scène V (Arnolphe, Agnès, Alain)

Arnolphe demande à Alain de garder un œil sur Agnès pendant une demi-heure, car il compte l'envoyer dans une demeure sûre.

Scène VI (Arnolphe, Horace)

Dans cette scène, on assiste à une nouvelle rencontre entre Arnolphe et Horace. Le jeune galant explique au vieil homme que son père Oronte est en route pour la ville afin de célébrer le mariage de son unique fils avec la fille d'un certain Enrique. Horace supplie à Arnolphe de dissuader Oronte de ce projet de mariage qui l'arracherait à l'amour de sa vie, Agnès.

Scène VII (Enrique, Oronte, Chrysalde, Horace, Arnolphe)

Dans cette scène arrivent Enrique, Oronte et Chrysalde. Enrique est le beau-frère de Chrysalde, la sœur de Chrysalde est malheureusement morte après avoir donné naissance à une fille unique. Enrique demande donc la bénédiction de Chrysalde afin de la marier à Horace. Chrysalde approuve le mariage entre la fille d'Enrique et le fils d'Oronte (Horace). Arnolphe exulte Oronte de faire en sorte que ce mariage se réalise et lui dit de ne pas tenir compte des résistances de son fils Horace. Depuis une cachette, Horace assiste à la scène, il se rend ainsi compte que Arnolphe est M. de la Souche.

Scène VIII (Georgette, Enrique, Oronte, Chrysalde, Horace, Arnolphe)

Arnolphe envoie ses serviteurs chercher Agnès.

Scène IX (Agnès, Alain, Georgette, Enrique, Oronte, Chrysalide, Horace, Arnolphe)

Notre article Résumé scène par scène de l'École des femmes - Molière se finit avec la dernière scène de cette pièce dans laquelle vous trouverez le dénouement de cette intrigue comique.

Arnolphe fait venir Agnès sur scène afin de lui annoncer le mariage de son galant avec la fille d'Enrique, il se réjouit que le sort ait joué en sa faveur. À ce moment là, en voyant Agnès, Oronte explique à Arnolphe que Agnès est la fille d'Enrique. Stupeur général, joie pour certain et larme pour d'autre, Oronte explique que le fruit du mariage secret entre Enrique et la sœur de Chrysalde est la petite Agnès. Enrique a été obligé de s'expatrier et avait confié sa fille à une paysanne qui a ensuite confié le bébé à un certain M. De la Souche qui l'a élevée. De fait, Agnès va donc épouser Horace conformément à l'arrangement qui existe entre les deux pères. Arnolphe, vaincu, n'a pas d'autre choix de s'en aller.

Chrysalde son ami, lui explique tendrement que c'est peut être la meilleure chose qui puisse lui arriver car afin de ne jamais être cocu, la meilleure manière d'y arriver est peut être de ne pas se marier.

Image: fr.wikipedia.org

L'École des femmes : commentaire

Cette pièce de Molière est une critique de la représentation des femmes qui était faite à l'époque. Rappelons-le, à cette époque (le 17ème), on ne se mariait pas par amour, on se mariait par arrangement et prise de pouvoir. Au 17 ème siècle, les femmes sont considérées comme des êtres voués à la perfidie et aux pêchers (depuis Êve et Adam). Les femmes n'ont que deux trajectoires de vie possible : le mariage ou le couvent et presque aucune d'elles ne se rebellent car elles n'ont aucune éducation.

La majorité des femmes n'est pas éduquée afin de les garder plus docile, de leur côté, les hommes pensent qu'il vaut mieux marier une jeune fille naïve, car elle se montrera également plus docile. C'est toute cette partie là de la société que Arnolphe représente. Néanmoins, au même moment, émerge un mouvement nommé "La préciosité", ce dernier est formé de femme éduquée, riche et libre qui revendique leur autonomie, indépendance et une égalité entre homme et femme.

La pièce de Molière, l'École des femmes, est donc une représentation critique de la société machiste du 17 ème siècle. Arnolphe représentant les hommes qui veulent maintenir les femmes sous leur joug et Agnès, quant à elle, représente la partie des femmes bien nées qui veulent l'égalité entre Hommes et les Femmes.

Notre résumé scène par scène de l'École des femmes se termine ici, on espère vous avoir filé un bon coup de main !

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